Quelle muflerie ! Heureusement, Courbet trouve un moyen de se faire pardonner auprès de Madame Proudhon… En 1867, le peintre présente seul ses œuvres dans un bâtiment qu’il fait construire en parallèle de l’Exposition Universelle et du Salon officiel. Il saisit l’occasion pour réunir enfin les deux époux !
Parmi les 135 œuvres qu’il choisit de montrer, Courbet présente un autre portrait de Proudhon et, sur une autre toile, celui de sa femme, qui avait entre-temps accepté de poser pour lui. Son attitude plus vive et ses joues plus colorées soulignent le contraste entre l’épouse et son défunt mari… |