Très impliquée, elle a rencontré des familles de victimes pour écouter leur douleur et leur demander la permission d’utiliser les chaussures des disparues.
Elle les expose ainsi, telles des reliques, pour rendre hommage à chacune de ces femmes. Salcedo s’interroge : "La mémoire des victimes anonymes est toujours négligée, j'essaie de la restaurer, autant que possible. Mais bien évidemment je n'y arrive pas". |