Les lésions cancéreuses abritent, en effet, des populations de bactéries qui relâchent dans l’air de petites quantités de molécules odorantes.
Si ces drôles de parfums ne sont pas perceptibles par l’odorat humain, ils sont en revanche flairés par le museau aiguisé de nos amis canins. Leur odorat très développé permet de détecter un spectre très large de molécules odorantes, et ce, même en très petite quantité. Pratique ! |