"Le problème avec la folie des grandeurs, c'est qu'on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie." Quino Bonjour, Septembre 2013, c’est l’affolement dans les rues du quartier financier de Londres. Un salon de coiffure évite de justesse l’incendie, puis une selle de vélo prend feu en plein après-midi. Zone piétonne à proximité du Royal Exchange Building, quartier de la City de Londres, 2013, photo : Roger Jones Mais la vérité est encore plus surprenante ! Après enquête, le pyromane supposé n’est autre que la tour du 20 Fenchurch Street, alors en pleine construction. La "Walkie-Talkie", 20 Fenchurch Street, 2017, photo : Ungry Young Man En effet, sa paroi de verre concave reflète très intensément le soleil, qui finit par tout brûler sur son passage. Illustration Artips Ni une ni deux, l'architecte Rafael Viñoly fait ajouter des "brise-soleil" à la façade. Mais rien n’y fait, les habitants prennent en grippe l’édifice. Ce dernier hérite même du sobriquet de "Walkie-Talkie" (le "Talkie-Walkie") en référence à sa forme. La "Walkie-Talkie", 20 Fenchurch Street, 2016, photo : Tony Hisgett Bien qu’elle ne soit, lors de son achèvement, que le cinquième plus haut bâtiment de la ville, la "Walkie-Talkie" obtient tout de même une première place... Vue du quartier de la City de Londres, 2015, photo : Colin et Kim Hansen Le surprenant “Jardin du ciel” du 36e au 38e étage de la "Walkie-Talkie", 2015, photo : Colin " Le problème avec la folie des grandeurs, c'est qu'on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie. " - Quino - En un clic, dites-nous si par rapport à d'habitude : Des conseils, des idées, des critiques ? Copyright © Artly Production SAS, Tous droits réservés.
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